Ces voitures banalisés que vous croisez tous les jours… pourraient vous ruiner !
Bien que les voitures radars aient été largement médiatisées en 2024, leur histoire continue d'évoluer et de s'étendre. En 2025, l'actualité nous rattrape avec de nouveaux développements qui méritent une attention particulière. Découvrons ensemble les avancées récentes et ce qu'elles impliquent pour les conducteurs comme vous.

Des voitures-radars partout : la traque s’intensifie !
Vous pensiez pouvoir rouler tranquillement sur les routes de campagne ? Mauvaise nouvelle : l’arsenal de voitures-radars explose en 2025 ! D’après France 3 Régions, leur nombre passe de 400 à 550 en un an avec un déploiement massif en Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ces véhicules, totalement banalisés, traquent les excès de vitesse en toute discrétion, aussi bien de jour que de nuit. Et ce n’est que le début ! Leur itinéraire est soigneusement planifié par l’État et les préfets, précise Auto Plus. Autrement dit, on ne peut même plus deviner où elles vont frapper !
Peugeot, Renault, Citroën : ces modèles qui vous piégeront !
Vous vous méfiez des berlines grises avec un radar visible ? Oubliez ça ! En 2025, c’est la Peugeot 308, la Peugeot 208, la Dacia Sandero, la Renault Mégane et même la Citroën Berlingo qui patrouillent en toute discrétion. Le pire ? D’après Le Figaro, un site internet a même dû être créé pour répertorier ces voitures et permettre aux automobilistes de les identifier ! Mais avec des plaques d’immatriculation changeantes et un renouvellement constant des modèles, impossible de les repérer à coup sûr. On est traqué en permanence sans même le savoir !
Des chauffeurs payés… au kilomètre !
Contrairement à ce que certains pensent, les conducteurs de ces voitures-radars ne touchent pas de prime au nombre d’infractions relevées. Selon Économie Matin, ils sont rémunérés en fonction du nombre de kilomètres parcourus. Une fausse bonne nouvelle, car plus ils roulent, plus ils remplissent les caisses de l’État avec des PV ! Ces chauffeurs sont employés par des sociétés privées, preuve que l’État a décidé de confier la répression routière à des entreprises qui n’ont qu’un objectif : rentabiliser au maximum leurs contrats.
Un jackpot d’un milliard d’euros pour l’État !
L’enjeu derrière cette offensive massive ? L’argent, bien sûr ! France 3 Régions révèle que l’État prévoit de récolter un milliard d’euros en 2025 grâce aux amendes générées par ces radars mobiles. Pierre Chasseray, président de l’association 40 Millions d’Automobilistes, dénonce un "système de machines à cash" destiné à saigner les conducteurs. D’un côté, on parle de sécurité routière, de l’autre, on organise une répression massive qui ne profite qu’à une seule partie : les caisses de l’État !
Une opinion publique en feu : ras-le-bol généralisé !
Les automobilistes sont furieux. Certains dénoncent une "chasse aux conducteurs" et une privatisation abusive des contrôles routiers. D’autres, plus fatalistes, se disent obligés de rouler en permanence avec des applications signalant ces véhicules, une guerre de l’information permanente ! L’État joue la carte de la sécurité, mais la réalité est bien différente : ces voitures-radars ne font qu’exaspérer des millions d’usagers de la route qui en ont assez d’être pris pour des vaches à lait. L’avenir ? Un réseau de surveillance toujours plus tentaculaire et une répression qui ne cessera d’augmenter. À ce rythme-là, bientôt, même un simple clignotant oublié coûtera une fortune !